Certaines structures citoyennes du groupement Irambi -Katana dans le territoire de kabare appelle les éléments de sécurité se trouvant dans cette partie de la province du Sud Kivu au respect des droits humains et leur mission, celle de protéger la population et leurs biens .
Dans une déclaration rendue publique ce 24 novembre 2024 ,ces structures citoyennes déplorent le fait que, plusieurs cas de menaces d’attaque des voleurs, d’arrestations arbitraires et d’autres actes des violations des droits humains sont enregistrés dans cette partie au su et au vu des éléments de sécurité sans intervention,voire que ces derniers seraient impliqués dans cette situation.
Notre source poursuit en montrant que,au commissariat de katana,les gens passent 4 à 10 jours dans le cachot, sans intervention, exigeant une somme d’argent.
Le commandant de ce poste qui jure que l’argent sans le moindre respect des droits humains.
Et d’ajouter, aucune intervention n’est faite en cas de menaces ou attaques des paisibles citoyens.
Innocent Muhingaya président de la Nouvelle dynamique de la société civile de kabare précise que « le collectif des défenseurs des droits humains de katana, animateurs et acteurs sociaux,qui se sentent gênés par cette situation qui se vit actuellement à katana de se présenter ce mercredi 27 novembre dans la salle ndaro à Gigoma à 16h pour la prise des décisions « .
Ces structures citoyennes disent que,si rien n’est fait dans l’urgence par les autorités militaires et politiques, elles vont poursuivre avec les actions des grades envergure, pour dénoncer cette situation des violations des droits humains dans leur entité.
Rédaction centrale